Qui suis-je ? Courses 2005 (suite)

Bonjour,

Tel que promis, voila la suite de mon «Qui suis-je?». Dans ce deuxième temps, je vous présente les défis que j’ai relevés depuis que j’ai recommencé à courir.

En fait, au printemps 2005 lorsque j’ai décidé de recommencer sérieusement à m’entraîner, j’avais besoin de déterminer un ou des défis à tenter pour garder ma motivation. Ayant fait plusieurs compétitions de 10 km étant plus jeunes, je n’avais pas nécessairement le goût de refaire la même chose, alors à ce moment, je me suis laissé tenter par un programme d’entraînement pour faire un demi marathon soit 21,5 km.

Mais en cours de préparation, je me suis rendu compte que malgré le fait que j’avais perdu beaucoup de vitesse, j’avais gagné en endurance et en résistance donc, pourquoi ne pas relevé quelque chose de plus grand ;-))

Ainsi, le premier défi fut le Marathon de Montréal, je me suis décidé à peine 3 mois avant celui-ci. Tout le monde me disait que cela prenait au minimum 1 an d’entraînement. Et bien, j’ai prouvé qu’avec de la volonté on pouvait y arriver avec seulement un petit 3 mois de préparation. Je dois avouer que ce fut difficile, au 28e kilomètre, sur la côte Berri, j’ai frappé le «mur»! J’ai tout de même complété la course en alternant course et marche. Mais j’ai complété, c’est ça qui est important ;-))

Comme mentionné précédemment, la réussite de cette course, m’a permis de constater certains changements en vieillissant. Je n’ai plus la rapidité d’autrefois, mais j’ai acquis plus d’endurance et plus de résistance. Donc pour bien performer, je dois choisir des courses dont le critère premier est l’endurance et où la vitesse est secondaire.

Après différentes recherches sur Internet, j’ai constaté qu’il existe tout un monde après le marathon. Et oui ! Plusieurs cinglés comme moi qui veulent aller plus loin, toujours plus loin.

Il y a, entre autres, des courses dites horaires : 6, 12, 24 et 48 heures, et des courses basées sur la distance : 50 km, 100 km, 50 miles et 100 miles.

En 2005 mon entraînement était encore sporadique, j’ai commencé à courir au printemps et j’ai arrêté en septembre tout de suite après le marathon. Durant l’automne et l’hiver suivant, j’ai couru de temps en temps mais pas régulièrement, et ceci, ayant pour conséquence une perte des acquis cardiovasculaire et d’endurance.

En 2006, j’ai dû recommencer presque à zéro, mais cela fera partie de la suite de mon histoire.

À la prochaine,

Marc